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Description
Le 22 novembre 2024, Mike Borowski analysait comment Vincent Bolloré, Bernard Arnault et Rodolphe Saadé, en contrôlant les principaux médias et l’École Supérieure de Journalisme, orchestrent la censure totale au service de l’État profond et de l’oligarchie française.
Les médias français sous l’emprise des milliardaires
La presse en France est devenue une arme aux mains des élites. Les médias ne jouent plus leur rôle de contre-pouvoir. Ils sont désormais sous le contrôle total d’un petit cercle de milliardaires et de l’État profond. Vincent Bolloré, Bernard Arnault et Rodolphe Saadé ont consolidé leur emprise sur les principaux groupes médiatiques du pays. Ils possèdent une liste impressionnante de titres et de chaînes, parmi lesquels Le Parisien, BFM TV, Les Échos, Paris Match, Canal+, C8, Europe 1 et RMC.
Ce monopole médiatique ne laisse aucune place à l’impartialité ou à l’indépendance. Les informations diffusées sont sélectionnées, modifiées ou purement supprimées si elles ne servent pas leurs intérêts. Ces trois hommes, qui détiennent également des liens étroits avec le pouvoir en place, manipulent l’opinion publique en dictant ce que les Français doivent penser, dire et croire.
Le pluralisme est mort. La vérité est étouffée.
Derrière cette domination se cache une stratégie parfaitement orchestrée : contrôler chaque aspect de l’information pour protéger leurs intérêts économiques et politiques. La presse, autrefois perçue comme le pilier de la démocratie, s’est transformée en un outil de propagande, au service exclusif de l’oligarchie française.
Une école de journalisme transformée en outil de censure
L’acquisition de l’École Supérieure de Journalisme de Paris (ESJ), fondée en 1899, marque une nouvelle étape dans cette stratégie. Cette institution, autrefois symbole d’impartialité et d’engagement envers la vérité, est désormais sous le contrôle des mêmes magnats.
Désormais, les futurs journalistes ne seront plus formés à enquêter ou dénoncer, mais à protéger les intérêts de leurs employeurs.
Le rachat de l’ESJ verrouille encore davantage le paysage médiatique, garantissant l’obéissance des journalistes à des récits prédéfinis. La pluralité des voix dans l’information disparaît, renforçant un système de propagande totalitaire.
Une démocratie menacée
Cette concentration médiatique annihile le rôle des médias comme contre-pouvoir. Les scandales sont étouffés, les abus de pouvoir ignorés, et la censure devient omniprésente. Privée d’information libre et honnête, la société française voit sa démocratie fragilisée. Les journalistes, soumis à des pressions économiques et politiques, évoluent dans un environnement où la vérité n’a plus de place. La domination des médias par quelques milliardaires met en péril la liberté d’expression et transforme les citoyens en spectateurs passifs, manipulés par une élite déconnectée.